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21 commentaires pour Les Commentaires

  1. masselot dit :

    Chef d’œuvre en péril
    A Ecuelin près d’Aulnoye-Aymeries la chapelle romane de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem est encore debout . Pour combien de temps ? Envahie par les sureaux et les orties elle risque de disparaître à jamais. Avant 1914 elle possédait encore charpente et toiture . En 2015 ? je vous invite à vous rendre sur le site du patrimoine d’Ecuelin pour constater les dégâts …

  2. GUIDEZ Jean-Michel dit :

    Bonjour,

    Je suis à la recherche de renseignements sur le lieu « coupe gorge » à Avesnes-lez-aubert, ma maman âgée de 94 ans m’a parlé dans ma jeunesse de cette maison ( petite ferme) en bordure du chemin pavé à l’entrée du secteur pavé entre Avesnes-lez-Aubert et Carnières en me disant que des personnes de passage auraient été assassinées dans ce gîte à l’époque.
    Quelqu’un a -t-il des précisions sur cette histoire?
    Merci d’avance

    • masselot dit :

      Le lieu-dit coupe gorge évoque la présence de brigands ou bandits de grands chemins .
      On retrouve ce nom en différents lieux Montenescourt (62) Mesnil-Saint-Georges (80)…A Avesnes nous nous trouvons à un carrefour de chemins en pleine campagne lieu idéal pour détrousser et parfois tuer d’honnêtes voyageurs. Le nom de coupe-gorge à Avesnes est sans doute très ancien . Est-il lié à un ou des faits divers survenus en ce lieu ?sans doute ! Mais pour l’instant nos recherches n’ont pas donné de date précise .

  3. Jean-Jacques Masselot dit :

    Comment la Via Septemtriones Templi nous a conduit à la frontière de la Belgique sur l’ancienne voie de pèlerinage de Cologne à Compostelle .
    Dès le début de nos recherches , la direction du Hainaut Belge apparaissait clairement en effet la commanderie hospitalière du Fresnoy à Boussières dépendait de la commanderie-mère de Piéton
    près de Charleroi . Notons aussi que les archives des commanderies belges furent conservées à Mons après leur disparition au XVIIIème siècle .
    Nos recherches sur la ville de Valenciennes ont confirmé son importance dans le pèlerinage de Compostelle et la présence d’enseignes médiévales ramenées par les pèlerins et découvertes par les archéologues de la ville est fondamentale . Certaines de ces enseignes représentent les rois- mages dont les reliques sont conservées à …Cologne !
    Précisons que ces mystérieux rois-mages sont les premiers pèlerins du christianisme qui venant de lointaines contrées se sont rendus à Bethléem en suivant déjà une étoile annonçant la naissance du Christ .
    C’est à ce point de nos recherches que le hasard bienveillant nous à conduit à Marchipont .
    Apprenant notre existence , Guy Huart maire de Rombies-et-Marchipont nous a contacté pour nous apprendre que l’église de Marchipont , sise juste à la frontière avec nos amis belges
    renfermait entre autres trésors une statue de Saint-Jacques en habit de pèlerin datant du XVIème
    siècle ainsi qu’un tableau du XVIIème représentant à nouveau Saint-Jacques et Saint-Joseph .
    Marchipont dont les hasards de l’histoire ont fait un village frontière possède un pont sur l’Aunelle
    et c’est un très ancien lieu de passage emprunté entre autres par les pèlerins .
    Il semblerait que cette ancienne voie ai été l’une de celle fréquentée par les pèlerins allemands venus de Cologne .
    Les commanderies dépendant de Piéton comme celle de Boussières sont toutes à proximité de cette voie : Saint-Symphorien , Frameries , Sars-La-Bruyère , La Flamengrie …
    Sommes-nous sur la légendaire Niederstrasse venue de Cologne en passant par Aix-la-Chapelle et Maastrich ?
    Les recherches continuent…

  4. Vrévin Frédéric dit :

    Une équivalence à la chapelle du Fresnoy

    Voici la chapelle templière d’Avalleur dans l’Aube. Cette chapelle a les mêmes caractéristiques que celle du Fresnoy, de par les dimensions (25 m x 6 m) pour Avalleur et (21 m x 6 m) pour le Fresnoy, de par l’architecture aussi, à l’arrière un triplet symbolise la Sainte Trinité, ainsi que la vie, la mort et la résurrection du Christ. L’ouverture unique du revers de la façade symbolise l’Unicité de Dieu, répondant ainsi à la Trinité du triplet du chevet. Cette chapelle est constituée de trois voûtes en ogive, de style roman en extérieur et gothique à l’intérieur. Pour la chapelle du Fresnoy, il n’est pas impossible qu’à l’édification, la chapelle ait eu les mêmes caractéristiques.

    A voir là : http://fr.wikipedia.org/wiki/Commanderie_d'Avalleur

    ici : http://patrimoine.barsequanais.pagesperso-orange.fr/401-la-chapelle-d'Avalleur.htm

    ici : http://www.aube-templiers-2012.fr/398-avalleur.htm

  5. Vrévin Frédéric dit :

    Vraiment désolé de n’avoir pu être là ce samedi 12, mais en même temps pour une bonne cause la naissance de notre petit garçon, le même jour à 11 h 36, Nathan, 54 cm, 4.220 kg, un beau bébé.
    Merci à tous de votre gentillesse.
    Cordialement.

  6. Petite histoire sur l’origine de la coquille.
    A voir
    http://www.saint-jacques.info/coquille.html

  7. Vrevin frederic dit :

    Mieux que la thèse de Fanny Blanchet, un livre sort le 21 MARS
    ici
    http://www.evene.fr/livres/livre/la-louve-le-voyage-de-jean-de-tournai-810464.php
    à avoir absolument.

    cordialement.
    Semper fidelis.

  8. documentaire passant en ce moment sur planete+,a prendre bien sur au second degré(parfois),
    bon visionnage http://www.dailymotion.com/video/xl1p3g_les-mysteres-des-templiers-les-civilisations-disparues_webcam.

    Mr Vrevin
    semper fidelis

  9. bonjour a tous et toutes.
    pour en revenir a l’hopital de Maing,ayant fait mes recherches archeologique depuis 2008 sur famars je peut bien sur vous confirmer l’existence ainsi que la presence sur plan de l’emplacement de l’ancien hopital de maing situé non loin des anciennes redoutes de Famars est a une lieu de la fontenelle.voir le lien https://skydrive.live.com/redir.aspx?cid=a9135fdeb00130e7&resid=A9135FDEB00130E7!361&parid=A9135FDEB00130E7!153

    bien cordialement
    Mr Vrévin
    semper fidelis

    • vrevin frederic dit :

      PS:attention en cliquant sur le lien vous avez peut etre accés a d’autres documents ceux ci ne sont pas libres de droits ils ne doivent pas etres publiés sur internet ni meme reproduits.ils sont la proprietée de la BNF ainsi que le musée nationnale de vienne en autriche.veuillez m’en demander l’autorisation avant toutes utilisations.
      bien cordialement.
      Mr vrévin
      semper fidelis

  10. masselot jean jacques dit :

    Pour reprendre une idée défendue sans relâche par Guy, notre patrimoine est sous nos yeux et nous ne le voyons pas. Cette idée est très symbolique surtout lorsque l’on évoque l’histoire de sainte Maxellende.
    Maxellende, fille d’un riche propriétaire terrien de Caudry est promise en mariage à Harduin d’Amerval, fils du seigneur de Solesmes. Maxellende refuse ce mariage et décide de consacrer sa vie à Dieu. Harduin, vexé, cherche à l’enlever. Elle se débat. Il la poignarde à mort et perd aussitôt la vue. La pauvre Maxellende est enterrée dans le village de Saint Souplet. Quelques années plus tard, les ossements de Maxellende sont ramenés en cortège à Caudry. Harduin est sur le passage du cortège. Au moment où les ossements de Maxellende passent devant lui, il éclate en sanglots, pleure et recouvre la vue. Cette histoire se serait déroulée au VIIème siècle.
    La suite ne manque pas d’intérêt. Le fait qu’Harduin est recouvré la vue est un miracle et les ossements de Maxellende sont devenus des reliques, conservées à Cambrai puis au Cateau et enfin à Caudry.
    Le culte des reliques est très important au moyen-âge. Il est la pièce maîtresse du merveilleux religieux. La relique est un morceau du corps du saint défunt ou un objet utilisé lors de son martyr, par exemple un morceau ou un clou de la vraie croix du Christ. La relique a un pouvoir de guérison du corps et de l’âme et la plus précieuse d’entre elles n’est autre que le… saint Graal, vase dans lequel fut recueilli le sang du Christ.
    Donc, je dirai que l’idée de Guy qui permet de voir… est proche du miracle de notre sainte Maxellende…
    Et Compostelle dans tout cela me direz vous… Et bien les chemins de Saint Jacques traversent toujours des villes dans lesquelles les reliques et le culte des reliques jouent un rôle primordial.
    Ainsi en traversant notre bonne ville de Caudry, le marcheur chrétien ou non, marche dans les pas de l’histoire en traversant un lieu magique au sens médiéval du terme.
    Il faut ouvrir les yeux et regarder notre patrimoine.

    • vrevin frederic dit :

      Bonjour,

      Je crois que de nos jours, ouvrir les yeux et regarder notre patrimoine ne s’adresse qu’aux personnes ayant un minimum d’intérêt pour cela.
      Quand nos enfants réapprendront que 1515 est Marignan et que 1789 n’est pas un numéro de maison de Beverly Hills, il y aura de grands progrès.

  11. Thérèse Wasielewski dit :

    Nous sommes des personnes qui aimons à découvrir les chemins, les vestiges, endroits où sont passés des pèlerins, où ont vécu nos ancêtres, prédécesseurs, nos aïeux qui ont œuvré à nous laisser, plutôt à nous transmettre des valeurs, qui dans notre société, sont si facilement oubliées ou perdues !
    Nous soutenons de tout cœur votre démarche.
    Thérèse Wasielewski et Jean Pierre Choteaux.

  12. Jean Jacques Masselot dit :

    Je me permets d’utiliser les commentaires pour signaler mon changement d’adresse mail.
    Ma nouvelle adresse est : jean-jacques.masselot123@orange.fr à la place de masselot.jj@wanadoo.fr.
    Avec un problème informatique j’ai perdu toutes les adresses de mon répertoire. Ce problème est intervenu le 15 juin dernier. N’hésitez pas à m’envoyer les mails produits entre le 15 et le 30 juin et à me contacter pour que je reconstitue mon répertoire.
    Merci à tous.
    Le secrétaire de l’association : Jean-Jacques Masselot

  13. Vergé Isabelle dit :

    Bonsoir.
    Aujourd’hui, je suis allée me renseigner à la mairie de Saint-Vaast sur le moulin. Ce moulin dépend maintenant de la RAM de Villeneuve-d’Ascq. Malheureusement, il n’est plus visitable depuis qu’une partie intérieure s’est effondrée sur des visiteurs à l’occasion des « journées du patrimoine ».

  14. Jean Jacques Masselot dit :

    Beauvois en Cambrésis, le 1O juin 2011

    Chers amis,
    J’ai sous les yeux l’inventaire analytique des archives des commanderies belges ; cet inventaire est un inventaire des archives de l’état à Mons. L’inventaire a été établi par Léopold Devillers en 1876 et concerne les commanderies des hospitaliers de Jérusalem mais aussi celles du Temple.
    Je cite page XII de la préface :
    « Les principaux établissements de l’ordre de Saint Jean de Jérusalem dans le Hainaut-Cambrésis furent primitivement les maisons de Saint-Symphorien, de Mont-Saint-Jean, de Gaspendoren, de Beaulieu (à Marly), d’Avesnes-le-sec, d’ Ecuelin, de Frasnoy, de Valenciennes… »
    Plus loin il est précisé :
    « La commanderie de Hainaut-Cambrésis s’accrut au XIVème siècle, des maisons et des bois du Temple à Piéton, à Fliémet-les-Frameries, à Avesne-le-Sec, à Saint-Aubin et à Sars-la-Bruyère »
    Il est précisé par Léopold Devillers que Brasseur l’auteur de ces lignes a confondu les maisons des Templiers revenues aux Hospitaliers après 1307 et celles ayant toujours appartenues aux Hospitaliers.
    La commanderie de Piéton dirigera toutes les commanderies du Hainaut-Cambrésis. La maison du Frasnoy est celle du Fresnoy sur la commune de Boussières.
    Autre passage intéressant de la préface :
    « Item, ung escript en parchemin, de datte de l’an MIICXXVII (1227 ), le jour des Innocents, contenant que Waultier de Brayne, sire de Bachelies, a reconneult le droit que la religion a à Senef. Mons, le Temple dallé Genly, Sars, Noerchin et les appendans, Saint-Symphorien, Veillerelles, Espiennes et les appendans, Vallenciennes, Beaulieu, l’Hospital de Main et leurs appendans, la Flamengries, le Fraisnoy et les appendans, Avesnes les Secques et les appendans, Offies, l’Hospital lez Escuélin et leurs appendans, l’hospital de Cherves, Previlléges, bulles et tiltres des drois et auctorités de la religion Sainct-Jehan de Ihèrusalem »
    Senef est une dépendance de Piéton et le texte est en vieux français matiné de bas-latin.
    Cet inventaire est une mine de renseignements. Il y avait bien un hospital à Maing et Valenciennes confirme son importance.

    A bientôt, chers amis.
    Jean Jacques Masselot.

    • Groenewegen dit :

      Bonjour,

      Voici quelques renseignements supplémentaires concernant la Commanderie du Piéton :

      Origine :
      1007 Villa le Piéton est mentionnée pour la 1ère fois.
      En 1163, un acte fait mention d’une maison à Pieton-Vernoit.
      Ce n’est qu’après la dissolution de l’ordre du Temple que cette Commanderie deviendra une Commanderie Hospitalière (ils s’installèrent en Belgique dès la moitié du XIIème siècle) puis de l’Ordre de Malte (XIVe siècle).
      Elle était très importante : grands bâtiments-terres-biens.
      La Commanderie du Piéton et celle de Valenciennes faisaient partie des établissements du Hainaut-Cambrésis jusqu’aux guerres de Louis XIV qui l’amputèrent de sa partie française.
      En 1702, elle fût vendue comme bien national.

      http://www.pieton.be/livre/49.html

      • Groenewegen dit :

        NB : Lors de la suppression de l’Ordre de Malte, les archives de la Commanderie furent déposées à l’église St Waudru (nom d’une sainte canonisée par l’évêque de Cambrai en 1039).
        Elle avait fondé, à Mons, un oratoire et son mari l’abbaye d’Hautmont.

  15. bancourt françoise dit :

    pouvez-vous m’indiquer vos sources laissant à penser que le moulin de villers outréaux a quelque chose à voir avec les moines-soldats,
    car la seule chose que nous ayons pour l’instant c’est sa trace sur les plans avant 1780.
    d’avance merci

    – Réponse de l’Association « Via Septemtriones Templi » –

    Bonjour Mme Françoise Bancourt,

    Tout d’abord, merci de l’intérêt que vous portez à notre projet.

    Votre question est tout à fait intéressante et légitime.

    Les moulins d’aujourd’hui ne sont pas les moulins d’hier. Notre région a perdu beaucoup de ces édifices depuis l’époque napoléonienne (voir le cadastre sur le site des archives départementales du Nord). Les moulins du Moyen-Âge étaient, pour un grand nombre, en bois, et bien des siècles plus tard, leur trace sur le terrain a disparu (mais peut-être pas dans les écrits, ce qui fait l’objet de nos recherches).
    Aujourd’hui, nous savons que cette technologie des moulins à vent où la difficulté était de trouver le vent suivant son orientation (contrairement aux moulins à eau où l’énergie transmise par le courant était imposée par le cours d’eau) s’est considérablement développée avec le retour des chevaliers et moines-soldats (Templiers – Hospitaliers) partis en croisades. Ils ont en effet ramené une technicité nouvelle qui était développée depuis des siècles en Orient (on retrouve ces moulins sur les fortifications du Krak des chevaliers en Syrie – château fort croisé).
    Les XIIème et XIIIème siècles ont vu en Europe, en France et dans le Nord de notre pays (le France ne s’appelait pas encore la France, les territoires étaient découpés différemment et le Nord ne portait pas encore cette appellation) le développement des moulins à vent, pour des raisons liées au progrès et au développement économique (beaucoup d’impôts étaient récoltés par l’utilisation des moulins – pour les seigneurs locaux, mais également par l’Ordre du Temple pour financer les croisades).

    Notre objectif au XXIème siècle, promouvoir le patrimoine historique et culturel de la frontière belge jusqu’à l’Aisne (où un relais de notre travail devrait voir le jour pour aller encore plus au sud) par le tourisme vert, sur nos chemins du Hainaut-Cambrésis. Tous les Offices de Tourisme traversés nous accompagnent au travers de cette enquête.
    Patrimoine d’hier (Moyen-Âge où des vestiges sont toujours visibles mais souvent méconnus) mais également patrimoine d’hier à aujourd’hui. Nous avons la volonté de lier l’Histoire des villages par ces liens que sont nos chemins et de lier l’Histoire du XIIème – XIIIème siècle avec toute l’Histoire qu’elle a traversée pour arriver jusqu’à nous.

    Le moulin de Villers-Outréaux a vu le jour à une époque, et notre travail est de nous rapprocher des historiens locaux mais également des passionnés pour partager avec eux, car ils sont les plus à même à nous faire découvrir leur patrimoine local.
    Notre association est ouverte à toutes les volontés de tous horizons et, est à l’écoute de chacun.
    Aujourd’hui, nous avons des interrogations, le moulin de Villers-Outréaux en ce lieu et place, avait-il au Moyen-Âge, un ancêtre ailé ? Y avait-il d’autres moulins à Villers-Outréaux ? Peut-on encore retrouver des traces des moulins de cette époque ?…

    Ce que nous pouvons dire de façon certaine, c’est que le moulin de Villers-Outréaux fait partie du patrimoine qui doit aujourd’hui et demain être valorisé. Des structures existent déjà et font un travail admirable, et notre association amène un accent supplémentaire à cette valorisation autour d’une thématique nouvelle mais basée sur une histoire réelle de notre secteur.

    Tout comme vous, notre association cherche des réponses, nous allons de découvertes en découvertes, pour apprécier toujours plus notre patrimoine, pour le faire partager et pour le transmettre aux générations futures.

    Espérant avoir répondu à votre question, je vous invite à nous rejoindre et à partager notre première réunion de travail programmée pour mi-avril (date et lieu à définir) afin d’échanger davantage avec vous la philosophie de notre démarche.

    Cordialement,
    Bon week-end à vous,

    Guy Boussekey,
    Président de l’Association « Via Septemtriones Templi »
    Webmestre

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